Artiste Archive - Page 3 sur 4 - Catch-Art

Jean-Christophe Przybylski

Né en 1960 à Belfort, diplômé de l’École des Beaux-Arts de Mulhouse
en 1982, il en sort avec une boulimie d’expression plastique.
Très à l’aise dans le dessin académique, il s’en échappe irrépressiblement
pour imposer son écriture puissante et son imaginaire sans limite.
Libre “punk-expressionniste”, Jean-Christophe Przybylski
s’intéresse à des artistes comme Bacon, Kirchner, De Kooning,
Baselitz ou Basquiat.

Jean-Christophe Przybylski s’exprime surtout en grands formats.
D’un geste puissant et rapide, d’une main énergique sans retenue,
sans calcul, il offre avec une impulsivité presque sexuelle, des scènes
picturales surprenantes, généreuses, des représentations de corps,
du couple, de l’amour, des portraits, des chimères et du désir.
Son art qu’il exerce depuis toujours a pour lui un seul but :
Faire émerger toute l’énergie de son instinct pictural.

Valérie Honnart

«Valérie Honnart est une artiste complexe, un feu sous la…peinture. Subjectile, subjective, elle semble raviver sous un ciel de toile carbonisée, de bois et de soie, la clarté fébrile d’impacts de vies qui l’ont touchée. Ainsi fait-elle de sa peinture une collision permanente de ressentis mnésiques qu’elle intériorise, infuse – des souvenirs de lumière, s’accrochent comme des phalènes à la vitre intérieure – médite et mythifie. Tout est prétexte au voyage… mais un voyage des profondeurs, un voyage d’a-pesanteur où le corps épars – ange foudroyé – tente une unique apparition.»

Esther Segal 2019

Ben Thouard

Originaire de Toulon dans le Sud-est de la France, j’ai grandit au bord de l’eau.
Issu d’une famille de six, dès mon plus jeune âge, j’ai été initié au surf par mes grand frères, ce qui a fait naître en moi un amour profond pour la mer. Ce sport est devenu une drogue qui guidera le reste de ma vie. Tout en nourrissant ma passion pour le surf, je découvrais le monde de l’art et m’inscrivais en cours de peinture. Naturellement je peignais la mer et les vagues. Ce n’est qu’à l’adolescence que je découvre la photographie en tombant par hasard sur un vieux boitier trouvé dans notre grenier. J’achète quelques films, je shoote, je rate, je re-shoote … et me découvre alors une passion incessante pour le monde de l’image fixe. C’est décidé, j’en ferai mon métier ! Mon bac en poche, je réussi a convaincre mes parents de faire une école de photo. Je pars alors pour Paris avec un boitier et un 50mm. Une première année se passe, je shoote dans tout Paris, consomme des dizaines ou des centaines de films Kodak TRI-X 400 que je développe dans ma salle de bain et que je tire à l’école. Comme assoiffé de savoir, j’apprend tout ce que je peux, je ne compte pas les heures ! Seulement cette obsession pour le surf et la mer me rattrape et me rend la vie parisienne difficile. Je quitte alors l’école en milieu de deuxième année et m’envole pour Hawaii ! Janvier 2006, j’ai 19 ans, j’atterris sur l’île de Maui, armé de mon caisson étanche fait maison (faute de moyen) et je passe 3 mois à nager, tous les jours, peu importe la météo, sur le fameux spot de Ho’okipa.

Johan Van Oeckel

In his work, Johan Van Oeckel starts from the pure form, which he then loads with information. Color is an important signifier here, because it automatically refers to a certain zeitgeist. Every work by Johan Van Oeckel says « I am » instead of « I become », because he remains faithful to the pure idea and there is no progression in it. He provides the viewer with a visual enjoyment that exists outside of any specific place or time, a universal experience. Each work is a dose of sacral geometry, a personal icon that the viewer may appropriate in all sovereignty. In his practice, Johan Van Oeckel opens up the playing field of abstraction in a broad and fascinating way. The result is a visual language that refreshes, surprises and produces new types of energizing symbols.

Annelies Vanbelle, 2021

Eddy Van Gestel

Photographer Eddy Van Gestel lives and works in Belgium and Africa.
He gained international fame through his coffee table books:
‘A Continent in the Picture’, ‘Africa XL’, ‘To the Rhythm of the Sun, ‘Perla Nera’, ‘Pure Black’,
‘Ebony’, ‘Signs of Life’, ‘Just Imagine’, ‘Opening Doors’, ‘Just passing by’ and his 2024’s Book ‘She’.

Over the years his style has become more serene and restrained, stripped of any excess, complex perspectives and difficult angles. To him photography is a quest for a magical and mysterious world, where there’s a very fine line between reality and impression. And though his pictures have that unmistakable “touch of Africa”, they exude a universal atmosphere so they transcend the ethnic photography category. His work is defined by shapes, lines and structures, more so than by the scenery itself. Whether he is shooting portraits, wildlife, still lifes or landscapes, all his pictures have one thing in common: they draw their graphic strength from their simplicity.

Christelle Crokaert

Etre en contact avec la nature et pouvoir en découvrir jour après jour tous ses différents aspects m’a toujours fait me sentir en paix et cela m’a en quelque sorte donné un sentiment d ‘«appartenance».
Mon art est intrinsèquement lié à mon ressenti des éléments qui m’entourent. Mon amour pour la peinture abstraite vient très probablement de mon amour pour la nature et ses éléments.
Artiste dans l’âme, je dessine depuis mon enfance.
A 13ans, j’ai gagné un concours de dessin organisé par “Amnesty International”.
Le thème du concours était “Les gens et la société”.
Plus tard, je décide de faire des études dans le social et je deviens éducatrice spécialisée.
J’ai travaillé 8ans en psychiatrie en salle fermée à l’hôpital Jean Titeca.
Cette expérience fut très riche au niveau humain et mon âme d’artiste m’a aidée à nouer des liens particuliers et de confiance avec les patients.
Depuis très longtemps, la maladie mentale et la créativité ont été associées à l’instar d’artistes comme Van Gogh où Maupassant et le milieu psychiatrique, aussi éloigné puisse-t’il sembler de la peinture a été pour moi une réelle source d’inspiration et continue de l’être aujourd’hui. Mon dernier emploi en tant qu’éducatrice était coordinatrice d’un centre d’urgence pour demandeurs d’asile en Belgique. A l’été 2021, je décide de tout quitter afin de consacrer 100% de mon temps à mon art.

Benoit Courti

Benoit Courti est un photographe français autodidacte qui donne au noir et blanc une saveur particulière. Ses clichés, qu’il décrit avant tout comme le résultat de rencontres, véhiculent un spectre de sensations inattendues tant ils donnent à voir des atmosphères particulières. Une mise en lumière de sujets simples, de compositions minimales tout en préservant une forte dose d’expressivité et de symboliques.

Sans doute parce que Benoit est également compositeur que l’on retrouve un réel sens de l’harmonie dans son travail photographique.

Denis Closon

Depuis plus de 20 ans je parcours la nature Belge et étrangère, à la recherche d’un lieu, Dun point de vue, d’un angle de prise de vue mais surtout de la lumière parfaite.
J’essaie à travers cette capture d’un instant, de faire passer ma passion pour notre nature, nos régions, nos paysages.
Ardennais d’origine, c’est en foret, ou sur l’eau que je me sens dans mon élément.

J’espère pouvoir apporter à travers mes images une autre vision de ces paysages.

Cynthia Evers

Née à Bruxelles en 1962, Cynthia Evers vit et travaille en région hutoise.
Formée en peinture (cours du jour) et en sculpture (cours du soir) à l’Académie des Beaux-Arts de Liège, elle reprenait les pinceaux en 2011 pour donner à son travail un tour à la fois intimiste et profondément engagé dans des thématiques féministes (ou à tout le moins féminines) ; celles-ci n’ont fait que s’affirmer depuis lors, sans donner pour autant à son travail un aspect rhétorique.

Distinctions
• Prix ARALYA lors de Artcité 2020, Fontenay-sous-bois, Paris, France
• Prix du jury à Art’pu:l 2019
• Lauréate de la 33rd Chelsea International Fine Art Competition 2018
• Les Papillons de Carpentras 2017, 1er prix du jury
• Lauréate aux Salons des Compagnons Mérite Artistique Européen 2015, 2016 et 2017
• Lauréate, désignée artiste remarquable, Biennale d’Art Contemporain en Beauce 2016
• 1er prix de la Biennale 2015 de l’Art Baron Pierre Paulus, Châtelet
• Médaillée Grand Prix René Théwissen 2014 et 2015
• Prix du jury salon Envoz’Art 2013

Pauline Hanuise

Born and raised in Belgium, Pauline is a self-taught, intuitive artist, a coach, teacher, and digital entrepreneur.

Pauline has painted and created for as long as she can remember. As many, she has been told art should stay a hobby. That’s how she ended up scoring 2 master degrees. The first one in communication and the second in management.

Refusing to settle for the status quo, she left Europe at 26 to live and work in Sydney as a Digital Producer. During her time in Australia, she joined the local art school and started exhibiting her work (2011).

At that time, her work was still pretty dark and tortured, which was a reflection of her life-time struggles with eating disorders and body image.

Over the years, as she healed herself, and found more inner peace through spirituality and yoga, her work evolved to become more colorful and spontaneous. Today, her art is a reflection of the flow of life, the universal energy of love and light.

She worked and lived in different countries till 2018. She is currently living and working in Portugal.