Artiste Archive - Page 2 sur 4 - Catch-Art

Stéphane Opdenbosch

Depuis 2019, je partage ma vie professionnelle entre mon travail de créatif en agence de publicité et celui de Street Phototographer… ou plus précisément de Candid Photographer, car à l’instar des caméras cachées, je surprends les gens dans un moment donné, sans qu’ils aient conscience d’être photographiés. Une situation qui raconte une histoire, pousse à réfléchir, ou tout simplement donne le sourire. Mon but est de créer dans chaque image une composition naturelle qu’il est impossible de reproduire.

Expos précédentes :

– Summer Show @ The Palm Beach en compagnie d’autre artistes – Été 2023
– Restory by Canon et speaker @ The Photodays – Octobre 2022
– Appearances @ The Palm Beach en compagnie d’autre artistes – Été 2021
– Intramuros @ Galerie Verhaeren en compagnie d’autre artistes – Mars 2021
– Candid Photography @ The Reservoir – Été 2020
– Candid Photography @ The Palm Beach – Février à Août 2020

Magali Van de Wiele

Née à Bruxelles en 76, Magali Van de Wiele est une artiste peintre travaillant principalement à l’acrylique sur toile ou techniques mixtes (feuilles d’or, paillettes).
Elle produit aussi un travail de peinture sur porcelaine, d’aquarelle, de dessin, de photographie, d’illustration et même de perles à repasser.
Formée dans les années 90 aux Arts plastiques à la haute école de Saint Thomas d’Aquin à Bruxelles et à l’Académie des Beaux-Arts de Bruxelles,
elle part s’installer au Portugal en 2006 où elle devient membre permanente de l’atelier d’Art F. Duhamel à Braga (Portugal)
avant de créer un centre collectif et ouvert sur l’extérieur : Cores Vivas (expositions, commandes privées et institutionnelles, formations et animations en arts plastiques).
Elle revient ensuite à Bruxelles où elle gère un temps la galerie EXPArT dans le quartier Saint-Jacques non loin du Sablon.
Puis se consacre exclusivement à son travail et réalise diverses expositions, sur différents médias : photographie, dessin, peinture. Citons « Autophagies » en 2019, un travail de dessin à main levée d’une simple ligne noire sur fond blanc,
et « Comme deux poissons qui chantent sur une branche » en 2023, des toiles sur un thème disco aux tonalités chatoyantes, comme deux extrêmes qui révèlent ses moyens d’expression favoris : le trait et la couleur.

Sandrine Demey

Je suis Sandrine Demey, une artiste du collage, dont le travail est profondément influencé par mon hypersensibilité.
Née le 15 février 1978 à Dinant, en Belgique, j’ai toujours eu une connexion profonde avec le monde qui m’entoure, ressentant chaque émotion et chaque détail de manière intense.
Mon hypersensibilité est ma force, car elle me permet de percevoir le monde sous un angle unique et de le retranscrire dans mon art de manière profondément personnelle.
Mon environnement de travail est mon véritable moteur artistique. Contrairement à la plupart des artistes qui ont un atelier, le mien est un peu plus sauvage et imprévisible. Je vis au cœur de la nature, entouré de bois majestueux, et cette nature luxuriante est une source d’inspiration infinie pour moi.
Ici, au milieu des arbres, je peux vraiment embrasser mes émotions et ressentir une liberté totale.
C’est sans doute cet environnement qui m’invite à créer beaucoup d’oiseaux dans mes œuvres.
Après tout, quoi de mieux que de vivre au milieu des bois pour s’inspirer de ces créatures aériennes ?
En fait, c’est peut-être pour cela que mes œuvres ne sont sans doute pas encadrées, c’est ma façon subtile d’apporter un peu de cette nature sauvage et libre dans les intérieurs de ceux qui les possèdent. Cela crée l’impression que mes personnages semblent prendre vie et s’échapper du tableau, comme s’ils couraient sur le mur où ils sont exposés. Cette absence d’encadrement accentue la sensation de liberté et d’expression en permettant à mes œuvres de se fondre harmonieusement dans leur environnement, invitant ainsi le spectateur à les vivre pleinement.

Natacha de Locht

Suite à mes études à l’ERG (École de Recherches Graphiques), mon parcours professionnel fut d’abord orienté vers la création de patines et de trompe-l’oeil pour des décors, des lieux publics et chez des particuliers. Mon orientation technique et artistique s’est principalement tournée vers le médium de la peinture acrylique et les effets de matière. Depuis 2010, je poursuis cet intérêt pour les matières au-delà des conventions artistiques classiques. Je réalise des émulsions à partir de produits divers sur différents supports, j’oriente ces fluides de manière à ce qu’ils suggèrent des paysages abstraits et je capture ces instants éphémères par la photographie. Je crée ensuite des alliances avec des éléments naturels pour donner naissance à des univers d’où foisonnent une multitude de vies qui ouvrent la voie vers des interprétations infinies.

EXPOS :
2023: Galerie Connexion – Namur
2023: Woluwé Shopping Center – Bruxelles
2023: Phoenix Auction – Wavre
2023: Meet My Arts – Parcours d’Artiste d’Uccle – Bruxelles
2022: The Cube – Bruxelles
2022: Mont-de-Piété: « 4 regards » – Bruxelles
2021: Salon des Arts de l’ANRB – Bruxelles
2020: Salon des Arts 2020 – Bruxelles
2020 : ”Clitoris s’expose”, présentation virtuelle – ULB Bruxelles
2019: L’Expo Porno – CAL Charleroi
2018: L’Expo Porno – ULB Bruxelles
2018: Maison Communale d’Etterbeek, ”Entrée libre” – Bruxelles
2017: Business and Learning Center ”Sciences en couleurs” – Namur
2017: Aquahotel – Bruxelles

Philippe Cardillo

Né à Cannes en 1969 – Formation : Ecole d’arts appliqués à Nice.
Je partage ma vie entre création artistique et recherche. A la jonction des univers de la poésie, philosophie et de l’art. Mes intérêts pour la recherche portent sur la réflexivité du vécu sensible et son impact sur la formativité humaine et la construction culturelle. Une approche hollistique basée sur la singularité de l’expérience vécue comme source d’apprentissage, qu’il soit formel ou informel, intellectuel ou existentiel. La visée est intersubjective : partager ses expériences de vie, s’ouvrir sur le champ des possibles et transformer son vécu en expérience formative pour soi-même et pour les autres.

EXPOSITIONS 2019 – 2023
22ème Symposium des fondations Suisses, Fribourg
Résidence d’artiste à Cerniat, Suisse
Changes/Chances Stamperia Ripa 69, Roma
MAAM Museo dell’Altro e dell’Altrove di Metropoliz, Roma
Rigorosamente libri, Fondazione dei Monti Uniti, Foggia
TheSign Gallery, Roma
Galleria La Sinopia, Roma

François Betting

François Betting est né en 1961 à Moyeuvre (France).
Il étudie à l’école des Beaux-Arts de Metz, en France, de 1982 à 1988.
Il se passionne pour la calligraphie, le graphisme, et la scénographie, sans jamais abandonner la peinture.
Il participe à de nombreuses expositions collectives ou individuelles en France et à l’étranger.
De 1990 à 2008, il collabore à de multiples projets scénographiques, architecturaux, et artistiques.
Il réalise l’étude de couleur du théâtre Bernard-Marie Koltès à Metz (F), une fresque, plusieurs scénographies sur Léonard de Vinci.
Il collabore avec Charlélie Couture à la réalisation d’un livre de dessins et de poésies.
Il réalise également de nombreuses illustrations pour le théâtre.
En 1995, le World Trade Center de Metz-Sarrebruck fait l’acquisition de plusieurs de ses peintures.
Il expose également au Conseil Départemental de Moselle (F) et au Conseil Régional de Lorraine (F).
Il participe à « l’Art en marche », expositions transfrontalières (Luxembourg, France, Allemagne).
En 2009, il s’installe à Bruxelles, radicalement décidé à se consacrer exclusivement à la peinture.

Marc Bailly

Marc Bailly ne fait jamais rien à moitié.
Lorsque, dans ses jeunes années, il tombe amoureux de la littérature de l’Imaginaire, il ne se contente pas, comme de nombreux quidams, de rester un lecteur. Il crée une revue, il débusque des talents, il travaille avec des professionnels de l’édition, il enfile la casquette de rédacteur en chef de revue, il devient directeur de collection ou encore anthologiste… Une véritable gourmandise face aux lettres qui lui permet, en près de quarante ans, de croiser la route des plus grands.

C’est le hasard qui lui glisse, un jour, un appareil photo entre les mains. L’œil se colle à l’objectif, les premières images apparaissent sur un écran et c’est… le déclic. Une véritable passion de la photographie s’empare de cet amateur éclairé. Il traque le cadrage, la lumière, le visage, le corps ou le paysage avec autant d’acharnement. Des plages de la côte d’Opale aux planches des théâtres liégeois, du Vietnam au Népal, entre séances intimistes au plus près des modèles et clichés sur le vif, saisis lors de rencontres publiques ou privées, Marc Bailly construit peu à peu un univers, un style, une sensibilité.

Pour lier les deux passions, la littérature et la photographie, il a développé pendant le confinement, le concept d’une photo/un texte (« Raconte-moi une photographie ») pour divertir et attirer l’attention sur la Croix rouge, organisme présent dans tous les pays francophones des auteurs participants.

Pierre Debatty

PIERRE DEBATTY

Né à Uccle le 2 avril 1966

Grandit à Charleroi où il suit les cours à l’Académie des Beaux-arts (1981-1985).
Il y enseignera la peinture entre 2000 et 2019.

Suit sa formation à l’Ecole Supérieure des arts visuels de la CAMBRE (1985-1990) dans l’atelier de peinture. Il y est assistant jusque 1994.

Professeur de peinture à l’Académie Royale des Beaux-arts de Namur depuis lors.

Vit et peint à Corbais (BW).

Emporte les prix Talens et Unisys en 1988.
Distingué au Prix du Hainaut en 1988 et 1990
Distingué au Prix de la Ville d’Ostende en 1990.
Lauréat du prix 45 en 1990 et celui de la Ville de Tournai en 1991.
Prix des Arts du trait à l’Académie Royale de Belgique en 1994.
Prix de la Province de Liège en 1997.
Citoyen d’honneur du Brabant wallon en 2007.

Expose depuis 1988 en Belgique et à l’étranger:

2023 Charleroi Palais des Beaux-arts
2021 Bruxelles galerie Marie-Ange Boucher
2018 Charleroi, charbonnage du Martinet
2015/16/17/18/19 Cathédrales de Bruxelles, Liège, Lille, Norwich, Rouen
2010 Domaine de Hélécine
2009 Parc et château de la Hulpe
2006 Abbaye de Villers-la-ville
2004 Expositions in situ à Charleroi,le Bois du Cazier

Jean Janssis

Jean JANSSIS est né à Ans (Liège), le 8 janvier 1953.
Il est licencié en philologie romane (1975) et agrégé de l’Enseignement supérieur (1976).

Photographe autodidacte, il est reçu au Jury d’Etat en 1986.
Il est professeur de sémiologie et de photographie, à l’Ecole supérieure des Arts Saint-Luc à Liège jusqu’en 2017.
Il compte à son actif des très nombreuses expositions personnelles ou collectives: Liège, Hasselt, Namur, Stavelot, Arlon, Genval, Charleroi, Bruxelles, Ostende, Anvers, Arles, Paris, Toulouse, Eindhoven, Rotterdam, Brescia, Venise, Rome, Milan, Londres, Lausanne, New-York, Santiago du Chili…

Ses oeuvres ont été acquises, notamment, par la Communauté française, la FNAC, le Musée de la photographie de Charleroi, La Bibliothèque Nationale de France, le Museo Ken Damy (Brescia), le Musée de l’Elysée (Lausanne)… et font
partie de collections publiques et privées.

Parmi les publications, notons :
Jean Janssis. Etreintes de terre, Edizioni del Museo Ken Damy, Brescia, 1996,
Passeggiata Silenziosa, Edizioni della Meridiana, Milano, 2006
et Exudat, Editions du Caïd, Liège, 2016.

Romain Van wissen

Né à Eupen en 1965, Romain Van Wissen vit et travaille à Membach, un petit village au pied du Hertogenwald.

« Au si loin que je m’en souvienne, j’ai toujours dessiné. Mon entourage n’était pourtant pas vraiment focalisé sur l’art. Ma grand mère, par contre,  était attentive et soutenante, elle m’encourageait à poursuivre le dessin.

Je me rappelle d’ailleurs d’un tableau dans son salon, un paysage, que j’admirais beaucoup, une maison au bord d’un lac. Je m’en souviens très précisément, il m’évoquait des contrées lointaines. Elle m’a révélé par la suite, qu’elle l’avais acquis au marché hebdomadaire et qu’ils en vendaient, dans le même genre, à tour de bras. Produit à la chaine, sans doute,… première désillusion.

Quand j’avais 12 ou 13 ans j’ai participé à un atelier de peinture à l’huile lors d’une après midi chez les scouts. Cette initiation était comme une révélation, un élément déclencheur, qui a éveillé ma curiosité et qui m’a donné envie de peindre.

Cette envie est pourtant restée très longtemps en veilleuse,…très lentement elle est devenue une intention, mais toujours pas d’action,… seconde désillusion.

J’avais 21 ans quand je me suis enfin décidé à m’inscrire en peinture, à l’Académie des Beaux Arts  de Verviers en cours du soir. C’était après mes études d’ergothérapeute et pendant mon service civil.

Cinq années en peinture, plus une pour le prix de Verviers, suivies de cinq années en gravure.

Créer une image est une aventure!
Reproduire, inventer, imaginer, expérimenter etc…Maitriser ou pas, se laisser guider ou pas, les couleurs vives ou pas… beaucoup de questions sont  dans la balance et restent sans réponses précise. Troisième désillusion?

Pas du tout, au contraire, c’est très bien ainsi!

Les certitudes ne font pas bon ménage avec la créativité. Je préfère le doute, il m’est nécessaire pour progresser, mais il m’a fallu l’apprivoiser. Il arrive généralement par surprise et me conseille sournoisement de tout effacer. C’est le moment de tout lâcher, d’observer et réfléchir. Est ce vraiment mauvais ou juste insolite?

Progressivement, au fil des années de travail pictural, le désir de fusionner différents univers, opposés par définition, a émergé comme démarche. Provoquer la rencontre entre figuration et abstraction ou plus précisément, entre identifiable et non identifiable est devenu mon challenge.

L’espace pictural est pour moi, un terrain de jeu. Il obéit à ma propre logique, qui n’est pas toujours en accord avec la réalité. Tout devient possible si on le rend plausible, même si cette petite incertitude, qui titille l’esprit, persiste.

Les combinaisons d’images importées de tous azimuts, produisent une sorte de magie en interagissant entre elles. Leurs apparentes oppositions boostent les sens et suscitent de multiples interprétations.

Petit à petit, on s’enfonce dans l’univers de la toile en empruntant sans cesse d’autres portes.

Les perplexités s’estompent peu à peu au bénéfice des illusions. »